Ca commence bien... (libre une ou deux personnes)

Le bateau de croisière voguait paisiblement sur l’océan. Le soleil matinal était radieux, le ciel bleu, et seuls quelques nuages d’un blanc pur lévitaient lentement au dessus de leurs têtes. Une petite famille était assise sur le pont, un homme, agé d’une quarantaine d’année, une femme, du même âge, et une adolescente, d’environ 16 printemps.

Printemps... Hivers, plutôt. Sa vie, avant ce merveilleux moment sur ce merveilleux yiot avait été plus difficile que cette merveilleuse traversée aillant pour destination une merveilleuse île. Son père, aujourd’hui présent sur le pont, avait quitté sa mère alors qu’elle n’était qu’un bébé, elle avait été éduquée seule par sa mère, dans la maison où elle avait vu sa tante mourire. Une enfance isolée, introvertie, difficile, pour enfin arriver à ce moment de pur bonheur où la petite famille joue aux cartes sous un soleil de plomb.

Ludvine, l’adolescente en soit, se leva soudain et pointa du doigt un point sur l’horizon. Marc, son père, se leva à son tour et se plaça près de sa fille pour contempler le paysage et deviner l’île. Hélène, sa mère, alla demander au capitaine si c’était bien l’île où ils passeraient leurs vacances. Mais, alors qu’elle rentra dans la cabine, elle surprit l’équipage du navire entrain de se disputer sa montre, le GSM de son maris et le sien, l’ordinateur portable de Marc et son porte-feuille. Elle entra.

« Mais qu’est-ce que... » commença-t-elle.

Un coup de feu retentit. Un matelot, qui l’avait repérée en premier, avait sortit son arme, elle était maintenant pointée sur Hélène. Sur la poitrine de la femme, une petite tache rouge se faufila entre les fils de son mayot deux pièces et forma vite une petite flaque de sang autour d’elle alors qu’elle était allongée par terre. Marc accourut, et après avoir jetté un regard plein de rage et d’incompréhention à l’assasin. Ce dernier était terrorisé. Il avait laissé tombé son arme, aussitôt ramassée par le capitaine, et s’était enfuit en courant. Le capitaine pointa le fusil sur Marc et dit :

« Nous y sommes presque, environ quinze minutes avant que votre voyage ne touche à sa fin. Si vous ne faites rien de stupides, nous vous laisseront en vie, sinon... »

Il pointa le fusil sur Ludvine, qui était immobile devant le corps de sa mère. Ses yeux étaient noyés de larmes, et c’est quand le révolver la pointa qu’elles décidèrent de se laisser couler. De longs filets ruisselaient sur ses joues en lui brulant la peau au passage. Le quart d’heure qui suivit fut le plus long de toute son existance. Toujours menacés par l’arme, Marc avait regardé les criminels s’emparer du corps de sa femme pour le jetter à la mer, puis faire laver à Ludvine la tâche de sang. Enfin arrivés à l’île, ils firent d’abord descendre Ludvine, à la demande de son père. Ils la frappèrent, de manière à ce qu’elle s’évanouisse, puis la jettèrent sur le sable humide. Marc descendit après, incontient lui aussi. Ce fut lui qui se réveilla en premier. Quand il ouvrit les yeux, la première chose qu’il vit fut sa fille, vêtements tachés de sang et, sur le front, une vilaine bosse rougie. Il se leva, regarda une dernière fois derrière lui, puis s’enfuit vers la forêt.

Ludvine se réveilla lorsque la marrée fut haute, carressée par les vagues. Elle ouvrit lentement les yeux et fut directement aveuglée par le soleil, qui était maintenant haut dans le ciel. Elle en déduit qu’il devrait être plus au moin deux heures de l’après midi. Elle se leva, puis regarda autour d’elle : où était son père ?!

Eloise était a la recherche de sa meilleure amie, depuis qu'elles étaient arrvivées ensembles sur l'ile et qu'elles avaient décidé de se séparés de façon a trouevr des personnes ou de la nourriture , elle ne l'avais plus revue... cela faisait pas mal de temps déjà et elle avait presque visité toute l'ile sans la trouver de plus son portable n'avais pas de réseau ici..

La jeune femme errait dans la foret depuis plusieur heures quand elle parvint a la plage , elle regarda autour d'elle et soupira , elle était revenue a son point de départ.. elle n'avais plus la force de continuer du moins pour le moment, elle allait s'assoir sur le sable quand elle aperçut une forme au loins allongé sur le sable.. a cette distance elle ne voyait qu'une vague silhouette et se demadait meme si cela n'était pas son imagination..

Finalement elle se leva avec difficulté et se dirigea vers la personne car maintenant elle en était sur se n'était pas son imagination, en approchant elle vit qu'il s'agiissait d'une jeune fille...elle la vit se lever, elle avait l'air perdue et regardait autour d'elle, comment était-elle arriver la ?
Eloise s'approcha méfiante , elle regarda la jeune fille et vit que ses vetements étaient tachés de sang ... que s'était-il passé ?

Eloise s'avança vers elle et la regarda pour le moment elle n'avais pas l'air de l'avoir vu, elle arriva sans faire de bruit a coté de la jeune fille , elle avait l'air appeurée , triste...
La jeune femme la regarda et dit doucement afin de ne pas l'effrayer

Bonjour... est que tout vas bien ?

HJ : Je suis sur un clavier americain, ne vous etonnez pas de ne voir aucun accent.

Ludvine se leva faiblement, elle se sentait faible comme jamais et sa tete etait tellement lourde qu'elle se demanda d'ou venait la force qui lui permettait de se lever. Elle avait incroyablement mal. Pas la petite blessure qui fait mal sur le coup, mais la douleur qui voyageait dans sa tete, flottait dans son corps. Elle sentait son sang couler dans ses veines, elle sentait son coeur rebomdir dans sa poitrine en emportant toutes les cotes avec. Elle se laissa retomber dans le sable mouille, tellement la souffrance etait forte. La bosse ensanglantee qu'elle avait sur sa tete n'etait pas pour l'oublier non plus, c'etait le pire !

Elle decida que ne rien faire ne l'aiderait pas, peux etre serait ce mieux si elle etait debout ? C'etait stupide, mais son seul espoir. Elle se leva doucement, respirant fort et une fois debout, elle se tourna vers l'horizon. La mer... Celle ou sa mere flotait encore, quelque part. En tout cas son corps. Avant qu'une larme ne naisse, elle se retourna. L'ile avait beau etre vraiment magnifiaue, elle n'y voyait aucune beautee. C'etait l'ile qui lui avait pris sa mere et... son pere. Ou etait-il bon sang ?! Il etait encore la seule raison pour laquelle elle ne pleurait pas. La seule raison pour laquelle elle s'etait levee.

'' Bonjour... est que tout vas bien ? '' Dit une voix a ses cotes.

Elle se retourna en sursaut, si bien quelle faillit perdre son equilibre. Elle devisagea la femme avec attention. Elle avait environ vingt ans, un peu moins peut-etre, brune, fatiguee. Ludvinia la regarda, ne sachant que repondre. Elle ouvrit la bouche pour parler, mais aucun son n'en sortit. Elle la regarda avec des yeux horrifies, puis, soudain, avec colere. Cette femme etait la cause de la disparition de son pere, elle en etait persoidee. Sinon, pourauoi serait-elle si... douce ?

" Ou... est... mon... pere ? " articulat-elle avec rage. " QU'AVEZ VOUS FAIT A MON PERE ?!?! "

Elle essaya vainement d'atraper la coupable par les epaules, mais tomba a genou sous l'effort.

Eloise resta un peu a distance afin de voir sa réaction, la jeune fille avait l'air vraiment mal mais ce n'était pas le moment de se poser des questions. Pour le moment elle regardait la met et n'avais pas l'air d'avoir entendu la jeune femme qui n'insista pas, elle finirait bien par se retourner et c'est d'ailleur se qu'elle fit mais comme Eloise avait du lui faire peur elle faillit perdre son équilibre.

Eloise sursauta et recula d'un pas , elle sentait le regard de la jeune fille la fixer avec attention, eloise la regarda elle aussi, elle avait l'air un plus jeune qu'elle peut etre 16 ou 17ans , elle ne savais pas trop mais en tout cas elle avait l'air perdue, appeuré et elle était blessée.
Eloise ne savait pas comment réagir , la jeune fille avait ouvert la bouche pour parler mais n'avais finalement rien dit et son regard avait changé , elle avait l'air d'être en colère.. Eloise se recula d'un pas se demandant ce qu'il se passait puis la jeune fille parla ou plutot demanda avec rage ou était son père...

Eloise continua de reculer , elle commençait a lui faire peur et la jeune femme ne comprenait pas pouruqoi elle lui demandait ça a elle, elle n'y était pour rien. Elle se souvint que la jeune fille avait l'air de chercher quelqu'un et c'était surement son père mais si il était avec elle pourquoi la laisser seule ici ? ce n'était pas le moment de poser ce genre de question, elle continua donc de reculer tout en disant..

Désolé.. mais je ne sais pas de quoi tu parles... je ... je n'ai vu personne..

Elle vit la jeune fille s'avançer et tenter de l'attraper par les épaules mais elle devait être fatiguée car elle tomba a genoux avant de l'avoir touché.
Eloise resta un moment a distance puis voyant que la jeune fille avait l'air de s'êtres calmer elle s'avança vers elle et s'assit a ses cotés..elle la regarda et lui dit :

je suis désolé si je t'ai fait peur ... mais quand je suis arrivé sur la plage tu était toute seule et.. je n'ai vu personne d'autre..je n'ai rien fait a ton père et je ne sais pas ou il est...

La jeune fille ne répondit pas et Eloise n'insista pas après tout ...
Elle était toujours a genoux dans le sable et vit que la jeune fille a ses coté avait recommencé a pleurer..
Soudain elle se releva et se mit a courir vers la foret , la jeune femme fit de meme, elle n'allait tout de meme pas la laisser seule la dedant sourtout dans l'état ou elle était et cette foret n'avais vraiment rien de rassurant.
La jeune fille continuait de courir a traver les arbres sans faire attention a ce qu'il l'entourait. La jeune femme avait du mal a la suivre , avec la fatigue et le stress de ses derniers jours il y avait de quoi..

Elle avait l'air de savoir ou elle allait pourtant elle venait juste d'arriver sur l'ile ou du moins elle en avait l'air..
Eloise s'arréta a un arbre pour se reposer quelque seconde et quand elle releva la tete la jeune fille n'était plus la .
Elle entendit un cri qui la fit sursauter et frissonner en meme temps, elle regarda autour d'elle mais ne voyait rien d'autre que des arbres.
Elle se dirigea alors vers la source prudamment , elle savais qui avait crier mais en ignorait la cause. Elle en avait plus que marre de cette ile et se demandait ce qu'il se passait ici.

c'est quoi ça encore...

Elle écarta quelque buisson et resta figer devant ce qui se tenait devant elle.. Elle étouffa un cri et en voulant reculer trop brusquement elle tomba a la renverse. Elle mit sa main devant sa bouche et s'efforça de se reprendre qui était cette homme ? elle n'avais pas faire attention a la jeune fille qui était incsiante la dans le sable. En la regardant alors elle comprit que cet homme était le père de la jeune fille.. mais pourquoi ? que c'était-il passé ?

Eloise s'approcha d'elle en rampant presque sur le sol, elle avait dut se fouler la cheville ou bien une entorse mais elle avait vraiment mal.
Elle s'assit a ses cotés et tenta tant bien que de mal de la réveiller.

En effet, ce n'est pas l'eau mais le contact de sa peau avec la pierre et le sable brulant qui la réveilla. Ludivine ouvrit lentement ses paupières, éblouie par le soleil, elle pécipita sa main devant ses yeux pour s'en progtéger. Au dessus d'elle, assissur ses blessures, un homme. Il avait le physique d'un adulte entre deux âges, brun et assez musclé. Le regard conscentré, il la regardait. Hésitante, la jeune fille se releva machinalement, souffrant d'un mal de tête inimaginable. Un frisson parcourut son dos et elle se rendis compte qu'elle transpirait. De la sueure froide, elle avait dû lire quelque part que ce n'était pas bon signe, mais il y avait pourtant plus important : son front était recouvert de vieux sang déjà sec mouillé. Elle s'essuya le visage mais l'odeur de l'infection se faisait encore sentir. Oubliant un peu ses blessures, elle regarda autour d'elle. A gauche, la mer. Au dessus, un ciel bleu intence, le soleil et un homme inconnu. A droite, un curieux mélange de forêt et de jungle. Elle ne se souvenait de rien.

" Qu'est-ce qui s'est passé ? Pourquoi j'ai cette blessure ? " Dit-elle d'une voix cassée.

Si, maintenant, on devait la qualifier, seuls deux qualificatifs seraient à la hauteur des attentes : en mauvais état, innocente. Dans ses yeux flotaient encore des larmes, peut-être à cause du vent, mais sûrement à cause de la douleur. Elle même n'essayait même plus de se convaincre du contraire. Où qu'elle soit, quoi qu'elle face là et quesqu'il se soit passé, une chose était sûre : c'était très loin de ce compte de fée, avec une jeune fille qui joue aux cartes avec sa famille, sur un yiot privé en direction de vacances de rêve... Incroyablement loin.

Elle n'avait également aucune idée de combien de temps s'était écoulé depuis lors... Elle n'était même plus sûre que ce fut bien réel... Ses souvenirs étaient aussi flous que sa présente vision. Ses yeux se fermèrent, elle voulait dormir... Elle voulait... Un malaise la prit, mais elle résista juste à temps. Elle avait chaud... Tellement chaud...

Eloise était toujours penchée sur la jeune fille mais celle-ci ne répondait pas et la jeune femme commençait à desespèrer quand elle entendit des bruits de pas précipités et des branches et grinçer comme si quelqu'un courait. Eloise regarda de tout les cotés et vit un homme apparaitre dans les branchages.. Il s'approcha aussitôt de Ludivine sans rien dire à la jeune femme qui s'était écartée et que sa cheville fesait toujours souffir.

Elle le vit prendre le poul de la jeune fille puis il dit à Eloise qu'il était médecin, la jeune femme se contenta d'aquiecer un signe de tête, elle n'avait plus de force, la fatigue s'était accumulée et elle avait mal à la cheville.
Il verça de l'eau sur la tête de Ludivine pour tenter de la reveiller ce qui ne marcha pas puis il la prit dans ses bras et l'emmena vers la plage..
Eloise resta un moment seule dans la jungle puis ne se sentant pas rassurée, rejoignit les autres sur la plage.

Ludivine s'était reveillée et le médecin était penché sur ses blessures.. ne voulant pas déranger, Eloise monta sur le rocher dans de bien que de mal avec sa cheville et resta assise ici, à regarder la mer.. Elle entendit Ludivine demander ce qu'il s'était passé mais ne répondit pas après tout elle ne la connaissait pas et puis elle n'avait pas la force de tout expliquer à moins que quelqu'un ne le lui demande.

HJ : Ludivine : j'aimerais juste souligner que, si tu as des problèmes d'ortographe, ou d'inatention, tu peux toujours utiliser un logiciel de correction, ou simplement te relire. C'est tellement plus agréable d'avoir un post sans fautes (Je ne dis pas par là que j'ai une ortographe parfaite. Bien au contraire). Même de simples fautes de syntaxes sont faciles à corrigées si on se relit.